Au secours, le marketing a choisi Salesforce : SaaS ou le progiciel 2.0 – Compte-rendu du talk de Vincent Hateau à La Duck Conf 2018
le 14/02/2018 par Maxence Modelin
Les progiciels dans le cloud comme SAP, Oracle, SalesForce arrivent maintenant avec des arguments efficaces et qui laissent rêveur toutes les DSI :
- Solution rapide et facile à intégrer
 - Haute disponibilité gérée dans le cloud, et qui n'est don plus directement à la charge de la DSI
 - Qualité de service améliorée avec les updates et les sauvegardes gérées
 - Parfaitement adapté pour l’international
 
Comment intègre-t-on ces progiciel dans une plateforme d’intégration continue et sur quels environnements ?
- 1 instance par environnement : ce qu'il faut privilégier, mais cela est rarement compatible avec ce que propose les progiciels,
 - 1 instance pour tous les environnements est complexe à maintenir : problème de configuration, rafraîchissement des données.
 
Voir la présentation complète sur slideshare.
Jusqu’où va le périmètre d’un ERP qui peut “tout faire” ?
- Le fait de trop personnaliser ce type de solution rentre en contradiction avec la notion de Buy,
 - Le mieux est de rester dans la configuration et l'intégration, et le moins possible dans le développement :
- L’impact direct est généralement l’expérience utilisateur
 - Attention au langage propriétaire : il demande une expertise moins courante de développement et c’est la qualité du développement qui en souffre.
 
 
Comment intégrer sa solution dans son SI ?
Il faut utiliser la solution comme un service et non pas comme un framework applicatif.
Finalement, on retient 3 lignes directrices pour intégrer une solution de type SAP, Oracle, SalesForce :
- Essayer d’intégrer la solution dans son usine de développement,
 - Ne pas trop personnaliser une solution qui est, par essence, générique,
 - Découpler au maximum la solution de son SI.
 


